Les gens sont méchants

19,00

Auteur : Ricardo Salvador

ISBN : 978-2-918406-13-6

Date de publication : Novembre 2010

Nombre de pages : 260

Format : 14 x 20,5

Genre : Roman policier

Tous les couples traversent de mauvaises passes. Celui dont il est question dans ce roman n’en est déjà plus là Les termes impasse, sans issue, cul-de-sac, voire coupe-gorge, seraient, en ce qui le concerne, plus appropriés…

Plutôt que de s’adresser à un conseiller conjugal ou de consulter un avocat, Hippolyte décide de régler le problème de manière directe et définitive.

Forcément, cela requiert quelques réglages, un plan précis et un scénario sans faille afin d’éviter tout démêlé avec la justice. Pas question pour lui de finir comme ces imbéciles imprévoyants, ces amateurs sans cervelle qui sèment des indices accablants sur les lieux de leurs crimes.

Mais sur le chemin du veuvage, Hippolyte ne s’attendait pas à croiser des gens vraiment méchants…

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Revue de Presse

Petite bibliothèque primitive (15/1/11) : Cocorico rémois pour ce roman de Salvador, les gens sont méchants ! A mi-chemin entre le polar et la caricature, entre le second et le troisième degré il nous entraine dans un univers hautement comique où les meurtriers sont des gars tout à fait plaisants et les chiens, d’infâmes petites boules jaunes qu’on envoie valser sur les commodes.

K-Libre : Un thème rétro, mais un premier roman avec une forte personnalité… […] ce roman a une voix, une véritable personnalité à travers ce récit d’humour noir à l’état pur… (Thomas Bauduret, 19/12/10)

L’hebdo du vendredi.com : Un livre drôlement méchant !

FNAC ***** : Tout simplement génial ! un vrai coup de coeur
Hilarant, grinçant, un style simple efficace assassin et surtout inédit. Le frisson allié à l’humour noir, c’est pas si souvent !!! A ne manquer sous aucun prétexte.

Forum Pol’Art Noir : Je viens de terminer “Les gens sont méchants” d’un dénommé Ricardo salvador, c’est a priori son 1er roman. […] si tous les inconnus se mettent a écrire des polars aussi décalés, cyniques drôles et haletants que celui-là, je laisse tomber les classiques du genre. Sans parler du léger malaise que vous ressentez quand vous le fermez… […] C’est une sorte de polar-thriller domestique qui se veut comique ou ironique en même temps, un mélange des genres inclassables, mais qui ne laisse pas indifférent et, compliment ultime, qui ne se prend pas au sérieux…

Partage lecture :
Kély  : Une intrigue menée tambour battant, sans aucun temps long ou mort, se déroule sur 12 jours. Ricardo Salvador ne se perd pas dans de longues descriptions, les détails sont pertinents et réellement au service de ce stratagème imaginé par Hippolyte. La tonalité humoristique et caustique de l’écriture de ce roman fait penser à une sorte de “one man show”. Un peu à la façon qu’aurait un artiste comique à décrire des situations dramatiques de manière drôle. Nous nous trouvons souvent face à des portraits à la limite de la caricature, mais sans excès et sans lourdeur, ni balourdise. Le style est clair, fluide, avec un vocabulaire simple. C’est sans doute le bon dosage de tous ces ingrédients qui conduit le lecteur à ne pas vouloir refermer ce livre avant d’en connaitre le dénouement. Un livre à ne pas manquer.

Maily7 : Ce livre est une mine d’or d’humour noir…

Thot : Un roman plutôt original dont je n’ai pas du tout deviné le dénouement. Le style est simple, vraiment très accessible et, avec le découpage en chapitres, la lecture est rapide et aisée. D’ailleurs, les événements s’enchaînent vite et la paranoïa monte tellement crescendo que l’on n’a pas envie de lâcher le livre avant d’avoir lu la suite.
Au delà de l’intrigue “policière” qui ne m’a pas semblé être la partie la plus importante du livre, hormis la description de toute la réflexion d’Hippolyte pour réussir le “crime parfait”, je n’ai pas pu m’empêcher de réfléchir à cette éternelle question de “vieillissement du couple”, de la lassitude qui s’installe plus ou moins accentuée, jusqu’à l’extrême du désir de se “débarrasser de l’autre”. Un livre que je vous conseille de lire.

Titepomme : Après le coup de cœur que j’ai eu pour La zygène de la filipendule, je me devais de lire le second livre de Ricardo Salvador.
L’humour décalé est toujours bien présent. Un humour noir comme la nuit la plus sombre, caustique. Un personnage principal un brin déjanté qui planifie point par point le meurtre de sa femme afin de ne pas se faire pincer comme un vulgaire criminel.
Et le voici entraîné dans une spirale infernale, et nous à sa suite. De situations saugrenues en retournements rocambolesques, on n’en finit pas d’être surpris à chaque page.
Un polar atypique et très divertissant. Cocasse au plus haut point.

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