Revue de Presse
Unwalkers: […] Véritable road movie à travers les USA, avec quelques clins d’oeils aux auteurs James Crumley et James Lee Burke, ce livre est écrit de manière fort intelligente, avec une écriture ambitieuse. (24/1/11)
COMIC BOX (n° 68) : « La bataille des forts » joue la bonne carte
Vous ne connaissez pas Arthur White, l’auteur vedette du label OB1, qui a aussi signé quelques petits trucs chez les principaux éditeurs américains du moment ? Vous n’avez jamais lu son comicbook, « La bataille des forts » ? Normal, ce cher Arthur n’existe que dans l’esprit du romancier Guillaume Gonzales… Lire la fin de l’article
INTERVIEW DE L’AUTEUR PAR COMICVERSE (Juin 2010)
K-LIBRE (19/6/10) : […] Dans un paysage de best-sellers usinés comme des plats surgelés, il est réconfortant de voir qu’un tel roman, mû par une véritable exigence littéraire sans pour autant tomber dans l’hermétisme pour initiés, ait le droit d’exister… Lire l’article de Thomas Bauduret dans son intégralité
Amazon : 2010-04-19 – note : 5/5 – UN PETIT BIJOU : Pour tous ceux qui veulent sortir des sentiers battus du roman noir : entre comics et mythologie, ce road-book nous embarque dans une Amérique « consumée » ; intelligent, rapide, il séduira ceux qui en ont marre du formatage que subit le genre et qui aime les « découvertes inattendues ».
Fnac : 1/6/10 – 5/5 – Un excellent polar ! : Belle surprise que cette « Bataille des forts » de Guillaume Gonzales. Roman efficace, haletant qui, dans le sillage d’un serial-killer illuminé, nous balade aux quatre coins des US sur fond de musique folk, de références mythologiques etc. Le tout, servi par un vrai style ! Bravo. (Erwann, Rennes)
Fnac : 2010-04-27 – 5/5 – A COUPER LE SOUFFLE : Une BD dans la BD, superposition d’univers qui nous emporte au cur de la bataille des forts que se livrent les héros de ce polar noir et un peu glauque. Illustration époustouflante du héros n° 13 sous forme de carte à jouer signée Minguez. Pour ceux qui aiment les univers déjantés, la BD et le polar et qui détestent les univers formatés à la morale tout aussi assassine que le tueur psychopathe de la bataille. Un grand bravo à l’auteur et à Kyklos éditions qui joue là une carte des plus dissonantes…
Entre 23 heures et minuit : […] Ce que j’ai particulièrement apprécié dans ce roman, c’est le mélange qu’il fait de plusieurs types de polars, qui fleurtent d’ailleurs avec d’autres genres littéraires : l’enquête traditionnelle, évidemment, avec des agents fédéraux qui tentent de comprendre et de suivre la piste de celui qui sera appelé Le Voyageur. A cela s’ajoute l’utilisation des ressources du monde moderne, ou plutôt virtuel, avec des personnages de hackers qui aident l’enquête parallèle […] : Pharos mène principalement son enquête depuis l’hôpital psychiatrique qu’il a intégré. L’univers de la Bande Dessinée est également présent, nous mettant en scène White en pleine action : il crayonne, imagine ses personnages, ses intrigues. Il fait des dédicaces… Enfin, les intrigues et personnages de la mythologies interviennent, comme source d’inspiration de l’auteur de comics, mais également comme éléments de référence essentiels dans l’esprit tortueux du criminel. Le rythme, quant à lui, empêche le lecteur de reposer l’ouvrage avant la fin. […] Pour un premier roman, je dis « chapeau! », d’autant que j’étais en manque de bons policiers ces derniers temps… (8/5/10).
Takac 11/01/11 : […] quel talent de savoir donner à un livre une rythmique de bande dessinée !
Saphyr 22/4/10 : […] On attend le choc, l’impact, entre les forces du bien et l’axe du mal. On attend… « La bataille des forts »… Car ce livre est finalement un comics transféré dans le monde réel, une histoire simple, manichéenne, avec des méchants très méchants et des gentils très gentils (un peu fêlés tout de même, mais c’est le propre du super-héros), avec un parfum de Silence des Agneaux indéniable. D’ailleurs, l’auteur joue sur le parallèle troublant entre l’histoire écrite par Arthur et celle qu’il lui fait vivre. Son œuvre et sa vie se déroulent en miroir l’une de l’autre. […]
Pinky 19/4/10 : […] j’aime beaucoup l’idée du monde de la BD, ce qui fait que je peux aussi me demander, si ce n’est pas deux BD qui se côtoient, l’une faisant appel à l’autre dans la première partie puis inversant les rôles dans la seconde… […] Les personnages sont décrits à grands coups de crayon, de la même manière qu’Arthur crée ses personnages quand vous le lisez en pleine action… en tout cas, le côté aérien de l’écriture, la police choisit pour le livre, la construction du livre, ainsi que les descriptions me font penser au style télégraphique utilisé dans la BD. […]
Un brin de lecture : […] cet ouvrage qui est pour moi un gros coup de cœur. En effet, je suis tombée en totale hébétude pour ce polar pourtant assez noir […]
Les lectures d’Elodie : […] Et c’est encore une fois un coup de cœur ! […] Le style d’écriture de Guillaume Gonzales m’a beaucoup plu, belle, agréable à lire, mêlant habillement noirceur et humour, avec un bon rythme. Un « polar à la poésie froide et sombre » comme le dit la présentation de l’éditeur.
Si ce livre sort de l’ordinaire, c’est aussi par sa multitude de personnages qui remplacent le personnage principal. Ici, pas question de se cantonner au point de vue d’un policier dépressif poursuivit par ses fantômes, non, on a tout un panel de personnages différents au possible et dont l’entremêlement de leur vie est construit avec brio. Tous les sépare mais tous les rapproche. […] Le style d’écriture est intéressant car on y retrouve, en tout cas à mon sens, un mélange de poésie et de philosophie dans la manière de raconter les faits. (Larme d’Etoile)
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